La Fureur de vaincre 1972
Le meilleur élève d'une école d'arts martiaux de Shanghai décide de venger la mort de son maître disparu dans des circonstances mystérieuses.
Le meilleur élève d'une école d'arts martiaux de Shanghai décide de venger la mort de son maître disparu dans des circonstances mystérieuses.
Dans les années 80, à Tokyo, une étrange expatriée est soupçonnée d'avoir tué son amie, disparue à la suite d'un triangle amoureux entre elles et un photographe local.
Une troupe d'acteurs ambulants arrive dans une petite ville de province. Son chef. Kihachi y retrouve une ancienne maîtresse, Otaka qui a eu un fils de lui.
les freres Amamiya , Masaki ( Takahiro ) et Hiroto ( Hiroomi Tosaka ) , continue la recherche de leur frère aîné Takeru ( Takumi Saito ) qui a disparu il y a un an . Les trois frères Amamiya ont perdu leurs parents quand ils étaient jeunes . Depuis lors, ils ne comptaient que sur l’un sur l’autre. À la date anniversaire de la mort de leurs parents , Masaki et Hiroto attendent que Takeru apparaisse . Au lieu de cela , ils rencontrent une personne qui a un indice sur la localisation de Takeru .
Associée à un de ses amis dans une société de logiciels spécialisée en cartes géologiques, Sandy, passionnée par son travail et évidemment débordée, se retrouve dans l'obligation de gérer le séjour d'un homme d'affaires japonais, client potentiel. Leur première rencontre est un véritable fiasco. Pour Sandy, Hiromitsu est froid, antipathique, sexiste et un peu volubile. Lui la considère comme une femme très impolie, arrogante, peu attrayante, tout juste bonne à lui servir de guide, car il veut absolument visiter le désert du Pilbara. Cette expérience, extraordinaire sous bien des aspects, va les amener à reconsidérer leurs a priori.
Un Japonais prétendant être M. Moto, de la police internationale, est enlevé et assassiné peu après avoir débarqué d'un navire à Port-Saïd en Égypte. Le vrai M. Moto est déjà à Port-Saïd, enquêtant sur un complot contre les gouvernements britannique et français.
Auteur de quelques bandes dessinées, d'une série TV et de quatre longs-métrages, Satoshi Kon a redéfini le paysage de l'animation japonaise. Son oeuvre, célébrée dans le monde entier, est celle d'un visionnaire...
À Porto Rico, M. Moto est chargé de démasquer un important gang de contrebandiers spécialisés dans le trafic des pierres précieuses. Un traître, travaillant dans le palais du Gouverneur, est de mèche avec les malfrats.
Univers fabuleux, enfants comiques et débrouillards, forêts peuplées d'esprits, parcours initiatiques à l'inquiétante étrangeté : Depuis plus de quarante ans, les films de Hayao Miyazaki enchantent le public. Profondément japonais dans leur inspiration, ils ont cependant réussi à séduire le public occidental grâce à leur puissance visuelle et émotive, au service d'interrogations universelles. Né en pleine Seconde Guerre mondiale, leur créateur est un enfant des tourments du XXe siècle, et son oeuvre s'en fait l'écho à de multiples égards. De "Nausicaa" à "Princesse Mononoké", du "Voyage de Chihiro" au "Château ambulant", elle met en scène une humanité obsédée par la conquête et la destruction, encline à un consumérisme qui déclenche la colère de la nature.
M. Moto est dérangé pendant ses prétendues vacances par le vol de la couronne de la reine de Saba. Il s'agit d'un appât destiné à démasquer le maître-voleur Metaxa...